Comme chaque mois, nos adhérents ont pu, cette fois avec la présence quelque peu participative de notre nouveau stagiaire Bastien, échanger autour de différents thèmes.
Yves Cellot, psychothérapeute, a pour habitude de laisser libre cours à la discussion en ne fixant pas de sujet établi pour démarrer.
Nous allons tout de même vous parler de ce qu’il en est ressorti, suite aux notes prises par nos soins, voulant laisser une trace de ces moments de dialogue, essentiels à ses oreilles et à d’autres pour le maintien de l’ouverture d’esprit dans un lieu de vie en communauté où il fait bon partager différents points de vue.
Ce mercredi 21 janvier, après un rapide tour de table, a donc été lancée la question des origines géographiques de chacun d’entre nous, ce qui a tout de suite enrichi la quantité et la qualité de chaque prise de parole, car nos parcours de vie sont bien entendus parfois très similaires, mais souvent bien différents…
Est ensuite arrivé le temps d’élargir aux différences en général, déjà abordées la fois précédente, au sujet du travail, mais cette fois-ci en axant davantage sur les habitudes culturelles, en insistant particulièrement sur les risques possibles lorsque l’on fait trop d’amalgames. Précisons que que tout cela est sans doute dû aux événements qui nous ont marqué et nous marquent encore, encourus ce mois-ci, touchant la « liberté d’expression ».
En effet, l’importance de se faire sa propre opinion a bien été relevée, par le fait de varier ses sources d’information pour y parvenir, tant en lisant la presse que par nos relations internes au GEM mais aussi à l’extérieur, car nous avons chacun notre rôle et notre part au sein de tout groupe quel qu’il soit. Nous avons tenté un par un de répondre à cette première problématique : Comment avoir sa place dans la société, se sentir actif et utile au quotidien?
A partir de là, l’heure est passée à quelques mots sur le contexte géopolitique mondial, avec un « bref » historique de la part d’Eric sur les stratégies économiques et militaires ultra-libéralistes, ce qui a bien soulevé le débat sur la répartition des richesses en tant que ressources (par opposition à « matière à sur-exploiter »), sans pour autant prendre réellement position sur le sujet, bien que nous nous sentions tous plus ou moins responsables à moindre échelle.
Enfin pour finir, et faire le lien avec l’introduction de cet instant vraiment intéressant, un dernier tour de table sur les voyages réalisés à l’étranger par les participants a bouclé la boucle.
Benjamin LEFRANC
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