L’art urbain, ou « street art », est un mouvement Unknown-4artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisées dans la rue, ou dans des endroits publics, et englobe diverses techniques telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers, l’affichage voire le yarn bombing ou les installations. C’est principalement un art éphémère vu par un très grand public. (Wikipédia)

“Beuboms, une piece, poscas, outline, light, masterpiece, indoor, outdoor, buses, caps”. Depuis le début de l’année 2013, ce  singulier  glossaire  résonne dans notre GEM. L’atelier de street art est opérationnel, initié et encadré par Nicolas. La créativité a trouvé un nouvel espace dans notre GEM .Unknown-5

Par sa mobilisation et son investissement, Nicolas, alias Sider, est en parfaite adéquation avec les grandes lignes édictées dans le cahier des charges des groupes d’entraide mutuelle :

 « Le GEM est une association d’usagers adhérents, dont l’objectif exclusif est de favoriser des temps d’échanges, d’activités et de rencontres susceptibles de créer du lien et de l’entraide ».

« Ce sont des personnes désireuses de rompre leur isolement et de participer aux différents temps d’échanges, d’activités et de rencontres du groupe d’entraide ».

Vivante, colorée, contemporaine, créative, spontanée, cette discipline artistique s’intègre parfaitement dans notre GEM urbain.

Initier, motiver, créer, impulser, vouloir, pouvoir, échanger, transmettre, agir, sans oublier de rêver et d’imaginer… L’atelier programmé les mardi et jeudi après-midi, peut aussi s’animer spontanément selon l’humeur créatrice du moment. La création spontanée ne doit pas souffrir des paramètres d’un emploi du temps, dont les repères sont toutefois nécessaires. A fortiori au sein du GEM. Cette souplesse de fonctionnement est un de nos atouts.

Nos adhérent(e)s en parlent .

Sider :  » Dans le GEM, il y a une bonne ambiance. Ce qui permet d’élaborer des toiles en essayant de pousser la créativité avec des formes d’expressions différentes et surprenantes, pour et par des adhérent(e)s souvent stigmatisés comme surprenants et différents. Cela permet d’exprimer nos joies et nos peines dans un cadre créatif et relaxant. « 

Perrine :  » J’aime cet atelier parce qu’il fédère des gens de ma génération dans un mouvement hip hop auquel nous sommes sensibilisés. Je peux exprimer ma poésie intérieure. « 

Vincent  :  » Vu que la ville participe de plus en plus à l’espace commun à chacun, sans avoir une résonance spécifique, cet atelier relie alors, et tant mieux, des frontières intergénérationnelles entre nous » .

                                                                                       Alain Belkarmi 

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