Une nouvelle fois, cette année, le Groupe d’Entraide Mutuelle d’Albi a ouvert ses portes au public dans le cadre des Semaines d’Information sur la Santé Mentale (SISM). Le temps printanier de ce mercredi 20 mars aura permis aux convives de profiter du jardin, quitte à faire une partie de ping-pong avec les gémois.
Pour 2019, les portes ouvertes se seront davantage focalisées sur les partenariats. C’était bien là tout le sens du discours bref et efficace du président du GEM d’Albi, Arnaud Cluzel, qui insistait sur l’importance de l’action du groupe pour déstigmatiser les personnes en souffrance psychique. Dans cette lignée, Alain Belkarmi, éducateur spécialisé qui coordonne Horizons, a souhaité valoriser tous les partenaires en présence ou représentés par : le Docteur Bruel (Président de la Fondation du Bon Sauveur), Florence Ferrandi (Directrice Générale de l’APAJH du Tarn), Denis Cadaux (Président de l’APAJH du Tarn) et son épouse, le Dr Chevallier (Administrateur de l’APAJH du Tarn), Marie-Elisabeth Soulié (déléguée départementale de l’UNAFAM), Marie-Line Marchant (chargée de communication à la Fondation du Bon Sauveur), Michelle Delrieu (assistante Sociale du CMP Pivot de la Fondation du Bon Sauveur), Jackie Ruth Meyer (Présidente de la Maison des Femmes), Christine Soler (psychologue au SAMSAH-SAVS L’Echelle, Fédération des APAJH), et ALMA 81.
Ce tour d’horizons devait être complété par la présentation de chaque gémois, de chaque stagiaire ainsi que de personnes qui nous étaient présentées ce jour-là en vu d’une possible adhésion (Farid, accompagné par Christine (CESF au SAVS Jarlard), ainsi que Quentin, venu avec ses parents).
Tel est l’esprit du GEM d’Albi : chaque adhérent est au cœur de nos préoccupations et de nos attentions. Et déstigmatiser les personnes en souffrance psychique, ne serait-ce pas justement leur donner leur place autour de la table aux côtés des professionnels ? Tel était le sens, pour mémoire, de la conférence prononcée par le Docteur Laurent El Ghozi, et organisée par l’APAJH du Tarn en 2016, sur les questions de « handicap psychique et citoyenneté ». A cet égard, le chemin, semble, encore bien long, pour parvenir à cet idéal dans de nombreuses structures.
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